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À Propos

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Anticiper, Accompagner et Associer

 

A votre service, je mets quarante ans d'expérience

dans l'évaluation environnementale des projets, plans

et programmes en France et à l’international.

 

J'accompagne vos projets pour éviter et réduire leurs impacts sur l'environnement et les rendre compatibles avec les principes du développement durable.

Patrick MICHEL

Patrick Michel, quel est votre parcours ?

Après l’obtention de mon doctorat en biologie marine, j’ai intégré, en 1979, le BCEOM en tant… qu’écologiste (c’était ma qualification sur mon bulletin de salaire !). L’obligation de réaliser des études d’impact était récente et les maîtres d’ouvrage très peu convaincus de l’utilité de cet outil. Il m’a fallu être très déterminé et pédagogue pour que cette démarche soit acceptée et partagée, y compris dans nos propres bureaux d’étude où l’environnement n’était pas la préoccupation des ingénieurs.  

Directeur du département " Environnement et Développement durable " dans une filiale du groupe Egis, j’ai animé une équipe d’une quinzaine d’ingénieurs spécialisés en évaluation environnementale des grands projets d’infrastructures. Les approches environnementales sont particulièrement complexes dans des projets comme, par exemple, le rétablissement du caractère maritime du Mont Saint-Michel ou l’urbanisation en mer de Monaco.

 

Pourquoi [Ultima Ratio[ ?

Après mon départ d'Egis, je souhaitai prolonger mon activité en tant que consultant en évaluation environnementale.

[Ultima Ratio[ signifie « le dernier recours », un clin d’œil au fait que l’on me demande souvent de finaliser un dossier dans les meilleurs délais ou de reprendre un dossier jugé non recevable.

 

Qu’est-ce qu’une bonne évaluation environnementale ?

Le point essentiel est d’intervenir en permanence avec un « regard inversé », soit en construisant le projet à partir de son environnement et non pas l’inverse. La qualité d’un bon évaluateur, c’est de remettre en cause en permanence les caractéristiques du projet pour tendre vers le moindre impact.

 

 

Pour ce faire, des échanges permanents - quelquefois tendus ! - avec le maître d’œuvre sont indispensables, tout au long de la conception, puis de la réalisation du projet, tout en respectant les objectifs du maître d’ouvrage. La méthode est maintenant connue de tous les intervenants : Éviter, Réduire et Compenser.

Comment améliorer la pertinence des études d’impact ?

La qualité des études d’impact a fait des progrès essentiels, notamment dans les domaines de la biodiversité où l’expertise est solide, des paramètres physiques (eau, air, bruit) pour lesquels les modèles numériques apportent des réponses précises.

Les améliorations relèvent de la prise en compte des activités humaines (mobilité, agriculture, habitat), des aménités (paysage, cadre de vie) et de la santé humaine, notamment en considérant les effets cumulatifs. Par ailleurs les résultats des suivis pendant les chantiers et l'exploitation des ouvrages, sont très peu utilisés comme retour d'expériences.

Enfin, il me semble essentiel de renforcer la consultation des parties prenantes et la concertation avec les acteurs du territoire et le public en général, en s’appuyant sur les outils informatiques et les réseaux sociaux.

Un ouvrage à recommander ?

Au début des années 80, un livre essentiel a guidé ma carrière d’ingénieur-écologue : Design with nature de Ian Mac Harg. Tout est dit dans le titre, dans la droite ligne du « regard inversé » que j’évoquai plus haut.

© 2020 [Ultima Ratio[

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